sous les jupes des filles souchon film
Au cours de cette phase de développement, les producteurs lui suggèrent de réaliser elle-même le film[17]. Il affirme aussi que les personnages sont « plus archétypaux que clichés » et « interprétés par un casting gratiné à point »[55]. N'ayant ni amies ni mari ni enfants, elle tente de changer le cours des choses le jour où elle apprend avoir un taux de testostérone anormalement élevé pour une femme. Inversement, Fanny essaie de redonner un souffle à son couple mais Jean n'accepte pas les comportements de son épouse et quitte le foyer conjugal pour retourner chez sa mère. Die Bilder ihrer aufgekratzten Komödie wirken frisch und zelebrieren streckenweise Weiblichkeit in prallen Farben. History: In Kurdistan, Bahar, commander of the Battalion The Girls of the Sun, is preparing to free his city from the hands of extremists, with the hope of finding his son. L'avocate de cette affaire est Agathe, femme belle et brillante ayant une fâcheuse émotivité intestinale[1], qui s'avère notamment gênante lorsqu'elle est attirée par un homme. Notant que « le scénario trimballe sa part de vécu », elle affirme que le film tient autant de la « pure comédie trash » que du « vrai faux docu-fiction »[54]. Dans L'Express, Éric Libiot note que « le propos n'est pas une enquête sur la place de la femme dans un monde essentiellement à poils et à moustaches, plutôt une heureuse tentative de donner aux mots le poids qui leur convient, partant du principe que, eux, n'ont pas de sexe - ou ne devraient pas en avoir car ils n'en ont parfois que trop »[55]. Correction: Alain Souchon - Sous Les Jupes Des Filles (chords) Comment. Elle justifie ainsi le choix d'utiliser « au moins 11 visages pour tenter d'esquisser un portrait de la femme d'aujourd’hui », ajoutant que ça n'est évidemment pas suffisant car chaque femme est « un peu de chacune de ces femmes et sans doute d'encore beaucoup d'autres »[99]. Sam lui suggère alors de passer une mammographie, indiquant qu'elle va d'ailleurs en faire une elle-même, et elle cale aussi un rendez-vous pour la fille adolescente de Lili. Dana lui fait donc part de son envie de lui proposer un rôle dans un film qu'elle développe mais ne lui révèle le contenu de son projet qu'un an plus tard[14]. Adeline et Rose finissent quant à elles par développer une certaine complicité. Pour Sous les jupes des filles, la chanteuse Imany écrit pour la première fois la musique d'un film[14]. Au moment de la sortie, Audrey Dana précise que tout « dépend quel sens et quel poids on donne au mot féminisme », estimant que le terme de féminisme peut sous-entendre « de la colère et un rejet des hommes » et que, de ce point de vue, le mot ne s'applique pas à son film[104]. Les traductions des citations sont des traductions libres, parfois réalisées avec l'aide de dictionnaires ou de services de traduction, dont le Wiktionnaire et Google Traduction. Elle fait toutefois valider ce choix par Marina Hands[16]. Dans Les Inrockuptibles, Romain Blondeau critique aussi l'aspect « conservateur » du film, considérant que ses provocations n'empêchent pas « un rétablissement faux cul de l'ordre conjugal classique et hétéronormé »[58]. Pendant près d'un mois, ces onze femmes se croisent ou interagissent, nouant parfois des relations entre elles. Dans Télérama, Guillemette Odicino considère aussi que « certains thèmes, plus graves ou complexes, semblent avoir effrayé la réalisatrice »[2]. Dans Le Progrès, Nathalie Chifflet estime qu'Audrey Dana est « une fille culottée et de son époque » qui « ne s’est pas embarrassée de fausse pudeur », laissant ses personnages s'exprimer « sans souci de la correction ni de la bien-pensance », cela « en abordant de front son sujet, sans s'encombrer de psychologie à deux balles, mais sans craindre de grossir le trait ni d'user de clichés et stéréotypes »[54]. Pour TéléCinéObs, Nicolas Schaller parle de « navet sans nom » qui serait « un Cœur des hommes pour ménagères de moins de 50 ans, mis en scène comme une pub Narta, qui aligne plus de clichés et de mauvais goût qu’un test socio-cul dans Cosmopolitan »[4]. Le film est produit par Fidélité Films[5], dont les producteurs Olivier Delbosc et Marc Missonnier sont alors considérés alors par Télérama parmi le « Top 50 » de ceux qui « ont le pouvoir et le talent de lever de l'argent, faire naître des films, les rendre populaires »[23]. Elle souligne que, « en gros, dans les comédies qu'on propose aux actrices, tu joues soit la salope, soit la bonne copine » alors que « la vie, c'est quand même plus paradoxal ou nuancé que ça »[17]. Malgré cet accueil général, Sous les jupes des filles a connu un grand succès en salles en dépassant le million d'entrées en France. Lorsqu'elle apprend que son jeune amant ne dormira pas avec elle la nuit suivante, elle tente d'appeler un autre amant pour lui tenir compagnie. Durendal. Elle complimente toutefois certaines actrices : Isabelle Adjani, « dont l'autodérision est à saluer », Laetitia Casta, « charmante », Marina Hands, « à contre-emploi », et Julie Ferrier, « hilarante »[2]. En partant, Ysis rencontre justement Adeline dans la rue ; cette dernière, sur le point d'aller voir secrètement Pierre, est gênée. ... M reprend "Sous les jupes des filles" de Souchon dans Boomerang. Agathe finit par entamer une relation avec son bel avocat, malgré une maladresse persistante. Charles-Henri Ramond, dans la revue Séquences, précise d'abord qu'il est difficile de « reprocher à Audrey Dana d’avoir joué d’audace pour tenter de dresser un portrait des multiples facettes de la femme française moderne et de ses relations avec les hommes » mais estime que le film est un « hallucinant enchevêtrement de sordide, d’humour sous la ceinture et de parties de fesse mal filmées » et « s’avère d’une rare vulgarité et d’une invraisemblable timidité »[63]. Fanny entame ensuite une relation avec James Gordon, un acteur américain qui vient de s'installer à Paris, en ignorant totalement sa notoriété et sa supposée homosexualité. La mère prétexte alors une urgence pour le consulter. D'autres déclarations d'actrices n'ont pas été commentées par Kopiejwski. Vanessa Paradis est approchée sur le tard puisqu'Audrey Dana ne la rencontre que quelques mois avant le tournage[14]. Julie Ferrier apporte quant à elle son interprétation de l'expression « film pour les femmes » : selon elle, le mot « pour » ne doit pas être pris comme signifiant « destiné à tel ou tel sexe » mais plutôt comme « en hommage à »[104]. Tess Kaye. Outre les aspects cinématographiques, le film a suscité des critiques d'un autre ordre à la suite du positionnement de sa réalisatrice et de certaines actrices sur la question du féminisme et le rejet de ce terme, même si Audrey Dana a fini par reconnaître que sa démarche était foncièrement féministe. L'histoire se termine un 17 avril, au début du cycle menstruel suivant de Jo[5], qui a finalement quitté Jacques. Selon lui, le film est plus original que Les Gazelles ou Jamais le premier soir, sortis plus tôt la même année[53]. Pour le scénario, elle collabore aussi avec Raphaëlle Desplechin et l'écrivaine Murielle Magellan[6], et Cécile Sellam apporte également son aide pour l'écriture[7]. Malgré tout, elle remarque qu'il y a peut-être trop de personnages car « on n'échappe pas au zapping de l'une à l'autre »[54]. Fanny souffre aussi mais n'en a pas conscience, sa frustration se manifestant par de nombreux tics au visage. Au contraire de Fabrice Leclerc, Frédéric Foubert considère, dans Première, que la « comédie de filles » Les Gazelles « laissait entrevoir un bel avenir au genre », alors que le film d'Audrey Dana « donne l’impression de feuilleter un numéro jauni de Femme actuelle et fait défiler des archétypes hors d’âge »[1]. Elle note par ailleurs qu'il y a besoin de « féministes activistes pour faire bouger des choses » et que son film peut aussi y participer, mais « à une tout autre échelle »[104]. Sous les jupes des filles est un film français réalisé par Audrey Dana, sorti en 2014. Sa propre sœur aînée, Marie-Noëlle, a participé au tournage en réalisant le making-of[34]. Au même moment, durant la soirée qui fait suite à la braderie, Inès est en pleurs et Lili décide d'appeler Jo. Dans la rue, perturbée par des remarques sexistes de deux passants, Fanny heurte violemment un poteau puis se relève avec l'aide d'Adeline. Dans Le Monde, Sandrine Marques regrette que le film soit plus béhavioriste que féministe[57]. Ainsi, Guillaume Gouix est proposé par Nakache, Pascal Elbé par Casta et Stanley Weber par Ferrier[16]. Selon elle, la réalisatrice a tenté de positionner son film à mi-chemin entre Mes meilleures amies (« les gags couillus ») et Le Bal des actrices (« un casting d’enfer »), mais qu'il générera des avis tranchés dans le public : « plantage ou poilade »[56]. « suivre, sur des plates-bandes féminines et françaises, le roi du genre version caleçon étoilé, « interprétés par un casting gratiné à point », « ouverture rentre-dedans a pour mérite de diviser immédiatement le public en deux camps : ceux que la chose fait s’esclaffer et les autres, penchant plutôt du côté de la consternation », « laissait entrevoir un bel avenir au genre », « donne l’impression de feuilleter un numéro jauni de, « très long, jamais très drôle, s’écroule sous le poids de ses trop nombreuses intrigues et de ses ambitions maladroites de film choral XXL », « tourne vite au catalogue, avec quelques bons moments et de grosses baisses de régime », « catalogue consternant de femmes d'aujourd'hui », « frôl[e] une outrance grossière évoquant le pire du cinéma de mecs façon, « inégal, parfois fourre-tout, bruyant, très énervant [mais] aussi parfois généreux, drôle, qui fait un bel arrêt sur images sur la société des femmes d’aujourd’hui », « portrait puzzle découpé en onze pièces », « humour aussi lisse que très vite insupportable », « il faut reconnaître qu’il se passe quelque chose », « elle en dresse en tout cas un portrait radicalement sexiste », « être amusant s'il était bien écrit et/ou bien réalisé », « au lieu du destin coquin de femmes libérées et fières de l'être », « se termine dans le plus grandiose cliché », « les répliques les plus cinglantes du film sont précisément celles de la bande-annonce », « la plupart des personnages sont toutefois beaucoup trop clownesques », « reprocher à Audrey Dana d’avoir joué d’audace pour tenter de dresser un portrait des multiples facettes de la femme française moderne et de ses relations avec les hommes », « hallucinant enchevêtrement de sordide, d’humour sous la ceinture et de parties de fesse mal filmées », « s’avère d’une rare vulgarité et d’une invraisemblable timidité », « rares moments justes n’allègent pas le fardeau », « rien d’autre qu’une comédie de boulevard ridicule et racoleuse », « un peu plus d’humilité et de délicatesse », « une chronique sociale aux valeurs tangibles », « les images de [cette] comédie déchaînée agissent avec fraîcheur et célèbrent avec distance la féminité dans des couleurs éclatantes », « potentiel comique [des personnages], bien qu'il ne soit pas toujours pleinement utilisé », « l'attrait physique des femmes est encore très au centre de l'attention », « fou et bourdonnant, irrévérencieux, comme l'univers féminin de, « toujours sur la limite, toujours transgressif », « loin d'autres chroniqueurs acides, et des, « préfère des modèles masculins d'inspiration : la névrose conjugale et affective de, « son film n'aurait pas été meilleur s'il avait été fait par les plus impénitents des misogynes », « pas de transgression dans ces romances avec des pets et ces accès de nymphomanie avec tics », « la tendance de la comédie grand public française à la vulgarité moins élaborée », « surécrit, surdirigé et sauvagement surjoué », « obsédée par le sexe et les hormones à la manière d'un/e adolescent/e », « une collection de gags vulgaires et sans signification », « difficile de définir la femme aujourd'hui », « au moins 11 visages pour tenter d'esquisser un portrait de la femme d'aujourd’hui », « un peu de chacune de ces femmes et sans doute d'encore beaucoup d'autres », « invitation à assumer, et à se libérer, et à s'ouvrir, et à s'animaliser », « casser les jambes au mythe de la femme française », « en gros, dans les comédies qu'on propose aux actrices, tu joues soit la salope, soit la bonne copine », « la vie, c'est quand même plus paradoxal ou nuancé que ça », « plusieurs façons d’investir la féminité », « la dictature de "comment c’est la féminité" », « semble avoir l'ambition de traiter des sujets graves et importants », « la jouissance féminine et la pression sexuelle qui s'exerce sur les femmes, le, « sont traités de manière complètement anecdotique », « certains thèmes, plus graves ou complexes, semblent avoir effrayé la réalisatrice », « le propos n'est pas une enquête sur la place de la femme dans un monde essentiellement à poils et à moustaches, plutôt une heureuse tentative de donner aux mots le poids qui leur convient, partant du principe que, eux, n'ont pas de sexe - ou ne devraient pas en avoir car ils n'en ont parfois que trop », « pas de scènes de nu, de situations salaces, glauques, voyeuristes », « rire de nos petites humiliations, nos fantasmes, nos frustrations, notre sensualité, nos sexualités, nos paradoxes, ça devrait être déculpabilisant pour les femmes », « mis de la pudeur – tout se passe sous les draps – et des effets spéciaux poétiques puisque, à peine entrevu, le sang se transforme en paillettes qui s’envolent », « si ça dérange, c’est sans doute qu'on voudrait toujours voir les femmes sous leur meilleur jour », « parle sexe et hormones, fidélité et plans cul, corps, pulsions et contraintes en un point de vue exclusivement féminin », « voilà, et si c'était nous qui nous rincions l’œil, même si on n'appellerait pas ça forcément comme ça », « fallait absolument faire bouger les lignes », « un film par des femmes pour les femmes, et les hommes qui aiment les femmes », « dépend quel sens et quel poids on donne au mot féminisme », « il y a un désir de parité très très fort », « féministes activistes pour faire bouger des choses », « croi[re] au changement qui est en marche », « nous évoluons vers une parité naturelle », « mal à l’aise avec la notion de féminisme », « inscrire ce film dans un certain cadre, celui de la revendication égalitaire et donc, du féminisme », « qui incarne le summum du cool et se dit farouchement féministe », « un très beau film de femmes sur les femmes, absolument pas féministe », « ce que ce mot maudit recouvre pour elle », « particulièrement adressé aux femmes, c'est même un petit côté mode d'emploi pour les hommes, c’est un petit peu pédagogique », « traite juste de femmes de différents âges et différents milieux sociaux […] sans être dans une revendication un peu absurde », « réfléchir à ce que ces personnages disent de notre société », « en 2014, les revendications concernant la condition des femmes ne sont pas “absurdes” », « Pardon pour mes aînées qui se sont battues pour que je puisse porter des jupes et prendre la pilule, mais je n’y ai même pas pensé », « pas besoin de rentrer dans la revendication », « il ne faudrait pas que ce soit un événement de faire un film de femmes aujourd'hui », « ce n'est pas une opération coup de poing », « n'a pas l'acuité d'une Lena Dunham, la créatrice de la série, ni son inquiétude », « misogyne et totalement invalidée par les études scientifiques », « les fait finalement passer au second plan et sans jamais remettre en cause le, « plaint ces pauvres hommes à qui on demande à la fois d’être des pères et des amants, de faire le ménage et d’être virils », « femmes blanches, hétérosexuelles et aisées », « un rétablissement faux cul de l'ordre conjugal classique et, « finale ultra caricaturale qui remet la femme bien gentiment dans un foyer qu’elle n’aurait jamais d[û] quitter », « public masculin [...] risque de se sentir bien seul, et un peu perdu », « le film a[it] été attaqué pour ce qu'il avait de féminin », « simplement parce que ce n'est pas l'étiquette », « conscience des progrès qu'il reste à accomplir », « c'était une manière de dire : vous, les femmes, vous avez le droit de réaliser des films, mais on va vous comparer », « pas plus pour les femmes que pour la planète ou contre l'industrie agro-alimentaire ou les ravages des téléphones portables », « film profondément féministe dans le sens joyeux du terme, et aussi une invitation à se réconcilier avec les hommes », Selon le générique de film, il s'agit du film. Il qualifie la distribution de « casting quatre étoiles façon Expendables en escarpins », dont il concède seulement « la bonne humeur » générale et la belle performance de Laetitia Casta[1]. Au cinéma le 4 juin 2014. France Inter. Rose, pour sa part, est une femme d'affaires qui est à la tête d'un important institut de sondage, au personnel majoritairement masculin. Décidant de passer à autre chose, Lili décide d'organiser une grande braderie avec sa garde-robe et annonce l'évènement sur Facebook. Un pré-financement participatif est également réalisé sur Ulule où le film obtient 326 préventes[24]. Audrey Dana affirme alors qu'elle a voulu faire un « attentat artistique » pour « invitation à danser, à profiter, à vivre », et que le 8 mars était la journée idéale pour partager cette chorégraphie[28]. Il conclut que ce « ratage » est d'autant plus décevant qu'« un peu plus d’humilité et de délicatesse » aurait permis aux scénaristes de proposer « une chronique sociale aux valeurs tangibles »[63]. Éric Libiot remarque que ça « parle sexe et hormones, fidélité et plans cul, corps, pulsions et contraintes en un point de vue exclusivement féminin »[55]. I tabbed the song including the guitar lines that were missing such as the intro/solo/outro, corrected some chords, specified them and adjusted some lyrics that weren't good. Les recettes du film sont estimées à plus de[n 7] 12 250 000 dollars dans le monde[83], dont environ 11 100 000 en France[25],[83], 470 000 en Italie[83], 400 000 en Belgique[83] 217 000 en Suisse[83] et 96 000 en Russie[84]. Il finit par reprendre le titre d'une chanson d'Alain Souchon : Sous les jupes des filles[22]. Audrey Dana avait écouté le premier album d'Imany, The Shape Of A Broken Heart, durant l'écriture de son scénario[35]. Néanmoins, le soir-même, elle trouve sur le portable de Jacques un message explicite de sa maîtresse. En fêtant ce procès gagné, Agathe ose enfin dire « Je t'aime » à son nouveau compagnon. Lors de sa première semaine d'exploitation, le film se place à la deuxième place du box-office hebdomadaire derrière Edge of Tomorrow, avec plus de 400 000 entrées[75], puis il prend la première place du box-office national lors de la deuxième semaine malgré une baisse de fréquentation (-40,11 %), avec plus de 240 000 entrées[76], avant de redescendre à la troisième place la semaine suivante derrière Triple Alliance et Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?[77]. Parmi les héroïnes, il applaudit le duo Paradis-Belaïdi et « quelques personnages bien croqués (Audrey Dana ou Marina Hands) », mais il en relève aussi quelques-uns « sacrifiés à l'écriture »[53]. Il loue le « potentiel comique [des personnages], bien qu'il ne soit pas toujours pleinement utilisé »[c 2],[64]. Une des chansons du film, Don't Be So Shy, connaît un succès international sous une version remixée deux ans après la sortie du film. Le site Allociné propose une moyenne de 2,4/5 à partir d'une interprétation de 19 critiques, dont 11 sont en dessous de la moyenne[51]. Un homme de 45 ans, habitant Sainte Croix, a été arrêté lundi. Regardez gratuitement la vidéo de Sous Les Jupes Des Filles par Alain Souchon sur l'album C'est Déjà Ça / Nickel, et découvrez la jaquette, les paroles et des artistes similaires. Tous deux conducteurs de bus à la RATP, ils semblent ne rien partager et leur vie sexuelle est inexistante. L'anglais est utilisé dans les dialogues entre Fanny et James Gordon ; le japonais est parlé par Rose lorsqu'elle reçoit l'appel d'un client. Dans leur appartement, Ysis et Pierre s'apprêtent à sortir. En évoquant alors son projet de deuxième long métrage, Si j'étais un homme, elle parle néanmoins d'un « film profondément féministe dans le sens joyeux du terme, et aussi une invitation à se réconcilier avec les hommes »[106]. De son côté, une jeune avocate, Agathe, est reçue par un confrère pour lui demander des conseils sur un dossier dont elle a la charge : la défense de la mère d'Adeline. Lors de la phase de préparation, elle affirme que son film « n'est pas féministe, au contraire », justifiant cela par le fait que le film ne montre pas forcément une image positive des femmes[13]. Plus tard, Ysis et Pierre boivent au comptoir d'un bar. Marc Missonnier présente d'ailleurs ce film comme « la réponse féminine aux Infidèles »[17]. Der Reigen der Abenteuer aber bleibt zu oberflächlich und auch zu nahe am Klischee, denn die körperliche Attraktivität der Frauen steht doch sehr im Zentrum der Aufmerksamkeit. The film tells the stories of eleven women in Paris and features an ensemble cast including Isabelle Adjani, Alice Belaïdi, Laetitia Casta, Audrey Dana, Julie Ferrier, Audrey Fleurot, Marina Hands, Géraldine Nakache, Vanessa Paradis, Alice Taglioni and Sylvie Testud. Dans Télérama, Guillemette Odicino note que, « sur le papier », le public pouvait envisager « quelque chose comme du Judd Apatow en talons hauts sur la place du Trocadéro » mais qu'il se retrouve devant un film « au mauvais goût assumé », qui « tourne vite au catalogue, avec quelques bons moments et de grosses baisses de régime »[2]. De son côté, la réalisatrice avoue qu'elle a également été « terrorisée » au départ, car elle continuait de penser à Mélanie Laurent, initialement prévue pour ce rôle[6]. Sous les jupes des filles (Alain Souchon) - Par DeL ;) Deliamber. Elle récupère le rôle initialement prévu pour Mélanie Laurent, qui ne participe finalement pas au film à cause de sa grossesse[6]. Lorsqu'elle revient le lendemain matin, Pierre lui reproche de l'avoir laissé seul avec les enfants. Pendant ce temps, Adeline explique à Rose qu'une seule de ses « amies d'enfance » a accepté de la revoir : Cathy Bento. Selon lui, « il faut reconnaître qu’il se passe quelque chose » et que « certains portraits sont bien tapés », citant les personnages d'Agathe et Inès[59]. You can help Wikipedia by expanding it. Ce film choral raconte les tribulations de onze femmes à Paris, le temps du cycle hormonal de l'une d'elles. 1:10. Elle fait également participer ses futures actrices à la préparation et à la création des personnages[15], y compris certaines, comme Mélanie Laurent, qui n'ont finalement pas participé au tournage[6]. Un film de Audrey Dana. En 2015, deux DJ russes, Filatov et Karas, créent un remix électro de Don't Be So Shy qui obtient un grand succès dans plusieurs pays européens[41]. Alain SOUCHON - Sous Les Jupes Des Filles recorded by veda2a on Smule. Durant le tournage, Audrey Dana inscrit sur son scénario une phrase de Marcel Proust : « Ce qu’il y a d'admirable dans le bonheur des autres, c'est qu'on y croit »[17]. Le soir, Sam, la sœur de Lili, a un rapport sexuel avec un jeune homme dans son cabinet de gynécologie. Pour préparer ce film, Audrey Dana, qui réalise alors son premier long métrage, a d'abord interrogé de nombreuses femmes et fait participer ses interprètes à la construction de ses personnages. Inès débarque à l'improviste chez Jo et impose une garde d'enfants partagée. The French title directly translated is "Under the Skirts of Girls". La promotion internationale du film s'est poursuivie lors de l'édition 2015 du « Rendez-vous du cinéma français à Paris », marché international organisé par Unifrance[44]. Le projet est né du constat que les comédies proposent peu de rôles aux femmes, hormis des personnages de faire-valoir, et de la volonté de proposer un film mettant en avant les femmes et donnant une autre image de la féminité, variée et sans tabou. La journaliste salue « une cascade de stars, de finesse et d’humour » ainsi que la prise de risque de la réalisatrice qui « os[e] cette approche déjantée, percutante, sans filet, mais si juste, pour raconter les femmes »[22]. Il a d'abord été intitulé Homosapiennes[18],[17] (parfois écrit Homo Sapiennes[19]), mais ce titre est abandonné car il risque de donner l'impression que ce film est un documentaire[14]. Ce titre a été utilisé pour le générique d'une émission de sport durant la Coupe du monde de football de 2014[16] puis pour le générique de fin de l'émission Un soir à la tour Eiffel à partir d'octobre 2014. Exclu Vidéo : Géraldine Nakache à propos de "Sous les jupes des filles" : "On pourrait penser qu'il y a eu du crêpage de chignons entre les fill... Public. Elle compare le film avec la série télévisée Girls, « qui affiche les mêmes ambitions », considérant qu'Audrey Dana « n'a pas l'acuité d'une Lena Dunham, la créatrice de la série, ni son inquiétude »[57]. Le film reçoit un accueil globalement négatif dans les médias spécialisés et plus partagé dans les médias généralistes. Pour Le Journal du dimanche, Barbara Théate salue la volonté d'Audrey Dana, « comme Lena Dunham et autres Kristen Wiig aux États-Unis, de défendre le girl power sur grand écran en faisant exploser les codes de la comédie, en montrant les femmes comme on n'a pas l'habitude de les voir »[52].