les diaboliques final scène

» Ah ! Pierre Fresnay était venu, Eric von Stroheim était un soir dans la salle. Et c'est un régal. Elle a une qualité de sensibilité que je n’ai trouvée qu’à Ludmilla Pitoëff. Le plus surprenant c’est que Véra Clouzot est effectivement morte d’une crise cardiaque quelques années plus tard. Mais le plus fascinant pour des gamins, c’était de se retrouver avec les grandes stars des années 50 : Simone Signoret, Charles Vanel, Paul Meurisse… De figurant, je fus presque élevé au rang d’acteur. Je crois que paradoxalement, cette immersion du personnage dans un univers collectif était le meilleur équivalent à la solitude que nous décrivions par écrit. Les diaboliques est un film intense. Autant son cinématographe me remplissait d’admiration, autant son cinoche me laissait froid. Et pour qu’il ne roulât pas pendant les descentes dans l’escalier, on l’avait attaché. Dans les salles, il répandait la terreur. C’est pas possible. Dans le cas contraire, il faisait son numéro de torture. Elle n’était pas comédienne du tout et il préférait qu’elle travaille avec une copine… en famille, quoi ! Les régimes... Fiches de lecture Home Page Ruy Blas Acte 2 Scène 3. Les Diaboliques est considéré comme l'un des meilleurs films à suspense. En plus, comme ce n’était pas une actrice professionnelle, il était normal qu’il la prépare et qu’il la mette en condition, plus que Simone Signoret, qui était très très bien dans le film, et Meurisse qui avait plus de métier. But I will observe that the ending would not have happened quite the way it does without the passive cooperation of Inspector Fichet (Charles Vanel), who has apparently figured everything out and is well-placed to prevent the final outcome, but waits too long. Henri-Georges Clouzot : Véra lit tous les livres pour voir ceux dont on pourrait tirer un film. Thomas Narcejac : Clouzot nous a conservé son amitié, et, lorsqu’il est mort, il travaillait encore à l’adaptation de l’un de nos derniers livres, La Lèpre. Culture; En 1954, l'immense metteur en scène Henri-Georges Clouzot dirige son épouse Véra pour son premier vrai rôle, dans "les Diaboliques". Acte 3 Scène 11 Turcaret Page 5 sur 5 - Environ 48 essais Le cousin pons ... amour impossible L’ensorcelée 3 Les Diaboliques À qui dédier cela ? On me confia une réplique. Audio commentary by Susan Hayward, author of Les diaboliques (Cine-file French Film Guides) Ah, expert commentaries. A groundbreaking film, it proved to be highly influential in the development of both the psycho-thriller of the 1960s and '70s and the slasher movie of the 1980s. J’en ai vu trois cents. Il ne m’en paya que huit. Véra Clouzot jouait le rôle d’une femme que son mari (Paul Meurisse) et la maîtresse de celui-ci (Simone Signoret) vont faire mourir de peur, la sachant cardiaque. Je ne veux pas tourner en couleurs dites naturelles. Delphine Simon-Marsaud est chargée de production web à la Cinémathèque française. Jusqu’à l’été de 1954, je n’avais aucune idée de ce qu’était réellement un plateau de cinéma. Nous sommes devenus amis, et j’aurais beaucoup de plaisir à le retrouver plus tard dans des films bien différents. Mon action n’était plus du tout une escroquerie à l’assurance. À partir de 13h30, face au Marignan, assis à une table de terrasse, j’observais la queue s’allonger sur les Champs-Elysées. Sur le coup, j’ai pensé à une blague de Carmet (spécialiste du genre, quand même). Il se trouvait là depuis une demi-heure et il ne disait rien. ♥ Un film qui se suit bien au final ⊗ Une mise en scène sans génie ⊗ Si on le compare à l’original et bien… Souvent ultra critiqué de par son statut de remake des Diaboliques, Diabolique version 1997 bénéficie d’un bon casting et se laisse suivre, sans pour autant marquer le spectateur. Je ne l’avais jamais épaté et mon talent, si j’en avais, ne l’avait jamais frappé. Philippe Boileau : Sans doute, au cinéma, était-elle nécessaire. Noël Roquevert : J’avais une scène avec Simone Signoret. Michael Delasalle (Paul Meurisse) is a sadist and a pinchpenny who serves the students rotten fish and slaps around his wife Christina (Vera Clouzot), even though the school really belongs to her. L’a-t-on assez dit, que Clouzot exigeait que l’eau fût froide ! J’y gagnai une célébrité non négligeable, et d’un style particulier. "Please do not reveal the ending to those who have not yet seen the film!" Avec : Henri-Georges Clouzot (réalisateur), Michel Romanoff (assistant réalisateur), Simone Signoret (actrice), Véra Clouzot (actrice et épouse de Clouzot), Paul Meurisse (acteur), Michel Serrault (acteur), Noël Roquevert (acteur), Charles Vanel (acteur), Thomas Narcejac (romancier), Pierre Boileau (romancier), Johnny Hallyday (figurant), Inès Clouzot (seconde épouse de Clouzot). Les Diaboliques is based on the popular crime-thriller novel Celle qui n'était plus by the celebrated writing team Pierre Boileau and Thomas Narcejac (their first collaboration). Nous bavardons interminablement le soir. Dans le livre, nous pouvions nous contenter d’annoncer le retour « d’entre les morts Â», sans aller jusqu’à concrétiser l’apparition. Le film a été tourné dans l'année 1955, Parmi les pays où le film a été tourné sont France. » Pas du tout. Michel Serrault : C’était un grand metteur en scène, exigeant, tyrannique, qui ne détestait pas user d’un fond de perversité pour obtenir le résultat qu’il souhaitait devant l’objectif. Où le film Les Diaboliques, a été tourné, dans lequel jouent Simone Signoret Véra Clouzot Paul Meurisse Charles Vanel Pierre Larquey Michel Serrault. Thomas Narcejac : Oui, il y avait en lui une salle des machines toujours sous pression. 4 Préface de la première édition Voici les six premières ! Michel Romanoff : Le film se termina. Plusieurs fois. Moi je n’en revenais pas d’avoir été appelé pour un rôle dramatique. J’étais content. Une légende bien établie voulait qu’en additionnant les entrées des séances de l’après-midi et du soir, multipliées par 10, on pouvait donner une estimation proche du nombre d’entrées de la première semaine. Simone Signoret : J’étais dans mon jardin d’Auteuil lorsque Marcelle m’annonça : « Monsieur Clouzot vous demande au téléphone. J’ai vécu ce réfectoire. « Monsieur Serrault, je vous apprécie beaucoup, je suis venu vous voir jouer plusieurs fois ici ou Chez Gilles, je prépare un film et j’ai un rôle pour vous. Then comes the ending, inspired by "Gaslight," in which a woman is either going mad, or nothing is as it seems. À neuf heures et demie, j’avais acheté les droits. Bon, ce mercredi 19 janvier, Les Diaboliques était à l’honneur ! Le personnage de M. Raymond possédait un faux courage, une étrangeté dans la veulerie. Le public pousse un cri d’effroi. Au cinéma, cela semblait insuffisant, probablement. C’est l’un de mes meilleurs souvenirs. Henri-Georges Clouzot : J’ai fait un policier, rien de plus. Simone Signoret : Heureusement il y a avait Meurisse et Vanel sur le plateau. Pensent-ils que la production aurait pris le risque de voir son acteur au lit avec une pneumonie ! Simone Signoret et Véra Clouzot dont les rapports tendus n’étaient pas pour déplaire à Clouzot (Michel Serrault), Les histoires aberrantes qui ont été racontées sur la scène de la baignoire relèvent de l’infantilisme ! » Il m’indiquait les emplacements à tenir, les mouvements à faire, m’expliquait pourquoi on tournait la scène plusieurs fois, bref il me donnait mes vraies premières leçons de cinéma et apaisait par là même mes craintes de débutant. On se disputait, on se réconciliait. Deux jours de paresse, de whiskies, de confort et de prévenances. Je crois avoir compris depuis que c’est pour cette raison que Clouzot m’avait sollicité. I would not dream of it. C'est l'heure de ton bain ! Je fus le seul. Je veux pouvoir travailler avec des couleurs interprétées. Pour faire plus vrai, Clouzot avait eu l’heureuse idée de mettre un gars à l’intérieur de cette malle, ce qui ne nous arrangeait pas. In Memory of Roger Ebert: Films About Connection, 12th Annual AAFCA Awards to be Held April 7th, The Unloved, Part 88: The Chronicles of Narnia: The Voyage of the Dawn Treader, HBO Max’s Made for Love Really Wants Your Likes and Retweets. As the movie opens, Nicole is pressing ahead with a plan she has already explained to Christina. The novel was adapted for the screen by French film-maker Henri-Georges Clouzot, who also produced and directed the movie. Au fond, je crois que ses interlocuteurs lui servaient à faire de la balle au mur, à relancer sans cesse une réflexion qui avait besoin de rebondir sur un obstacle. Henri-Georges Clouzot's "Les Diaboliques" was one of the classic thrillers of the fifties, as good as the best of Hitchcock's work. « Qu’on lui commande des verres de contact blancs Â», dit Clouzot. Et puis il avait une certaine façon de fumer la pipe, comme quelqu’un qui ne ferait que tremper ses lèvres dans un verre d’alcool : toutes petites bouffées économes, rapides pauses méditatives, et soudain un vif sourire carnassier précédent la question : « Qu’est-ce que vous en pensez ? The famous story: A man wrote to Alfred Hitchcock: "Sir, After seeing 'Diabolique,' my daughter was afraid to take a bath. Michel Serrault : Le tournage des Diaboliques avait lieu en partie en studio, en partie dans une institution de la banlieue chic, un de ces collèges privés avec parc arboré que l’on trouve entre Le Chesnay et Maisons-Laffitte. La scène a duré deux jours. Je l’aidais à descendre une malle qui, je l’ignorais, contenait un homme, en l’occurrence Paul Meurisse. À deux heures du matin, à mon tour, j’avais envie de dormir. Paul Meurisse : Clouzot n’avait aucun humour, et ne le savait pas. Au début des années 1950, la réputation tyrannique de Clouzot n'est déjà plus à faire. Une fois, il était minuit, on allait éteindre la lumière. Nous ne nous quittons jamais. Et moisis. Pour tourner cette scène où ces deux dames me transvasent d’une malle en osier dans la piscine, Clouzot me demanda de révulser mes yeux de telle sorte que l’on ne vît presque plus ma prunelle. Comme nul ne l’ignore, Clouzot est un metteur en scène consciencieux, connaissant parfaitement son travail, et n’acceptant de « mettre en boîte Â» une scène que si elle est parfaite. Henri-Georges Clouzot : Moi, je garde secrètes mes images…. "Diabolique" is so well constructed that even today it works on its intended level - up until, say, the last 30 seconds. Le rôle était épisodique mais il me permettait de travailler avec cet homme qui est un excellent metteur en scène, même s’il se comporte quelquefois comme un tyran sur le plateau. Michel Romanoff (assistant réal) : Je cherchais un internat pour le film. Et puis je n’étais pas satisfait des essais que j’avais demandés chez Technicolor. La scène fut coupée au montage mais qu’importe. Les Diaboliques (The Devils), also known as Diabolique, is a French suspense-thriller made in 1955 and directed by Henri-Georges Clouzot, adapted from the 1951 novel Celle qui n'était plus (She Who Was No More) by Pierre Boileau and Thomas Narcejac.. It’s amazing just how many classic films you can fail to watch in a long life of film viewing. En fait, je me rapprochais de ces personnages d’imbéciles que je jouais au cabaret avec Jean Poiret, à cette différence près que le texte n’était pas une suite d’énormités. Que d’éclairages savants, élaborés pendant des heures, pour donner à ce visage un soupçon d’expression ! Thomas Narcejac : Clouzot s’est pris d’amitié pour notre histoire trois jours après la sortie du bouquin. Peu de temps après des événements étranges se produisent. Simone Signoret : En répondant « oui Â», par ce bel après-midi de juillet 1954, à son offre de jouer dans Les Diaboliques, je savais que je ne me préparais pas des jours sereins. » Ce film fut pour moi une précieuse indication sur la valeur et l’efficacité d’un rôle. Henri-Georges Clouzot : Véra a une sensibilité stupéfiante ! Dans le fond, on se connaissait trop. Le personnage que j’y interprétais reste dans la mémoire d’un grand nombre de spectateurs du monde entier et d’une dizaine de millions de téléspectateurs. Non mais j'ai peur... Top 5 des bains qui tuent. Quand monsieur Clouzot a jugé la descente de l’escalier à son goût, nous avons poussé un soupir de soulagement. Reçu. Il n’attendait pas d’ailleurs un avis particulier sur son travail d’adaptation : c’était un homme secret. L’équipe technique attendait, dos courbé, le tonnerre de Zeus. Mais en 1954, alors que j’étais au sous-sol avec Jean Carmet, quelqu’un vint me dire que j’étais attendu au bar par Henri-Georges Clouzot. 29 janvier 1955. Vous voyez le décalage. Pour la distribution, Clouzot nomma sa garde et arrière-garde : Simone Signoret, Pierre Larquey, Noël Roquevert et Temerson. Je n’imaginais pas que j’allais en baver comme j’en ai bavé pendant seize semaines. There is the possibility, just hinted at, that Nicole may have lesbian designs on Christina. Le décorateur René Renoux n’avait qu’à compléter ce qui existait déjà. Clouzot se plaisait dans ces ambiguïtés. C’était une époque où les contacts s’effectuaient sans intermédiaire. Premier jour, je passai une audition. Véra Clouzot : Georges est un homme merveilleux, mais peu le comprenne. ! J’en ai pris trente-cinq. Michel Romanoff : Les nouveaux étaient Michel Serrault et Véra Clouzot. Étouffant, malsain, tendu. Mais à quel prix ! Henri-Georges Clouzot : Pour trouver la bonne baignoire, on a enregistré le bruit de celle de ma chambre, de celle du studio, de celle de la chambre de l’ingénieur du son. Elle se donnait énormément de mal. Moi, bêtement : « Il vaut peut-être mieux avoir du talent que de savoir révulser les yeux ! Elle me donnerait à la fois une atmosphère sinistre et, grâce aux enfants, un univers un peu féerique. The final revelations are somewhat disappointing, but Clouzot doesn't linger over them. J’ai essayé de la placer dans plusieurs milieux. C’est elle qui voulait tourner. Dans Le Salaire de la peur, j’ai tout de suite vu qu’elle « passait l’écran Â». » Le livre racontait une histoire d’escroquerie à l’assurance. The Inspector also amuses himself reconstructing timetables and quizzing a small student who seems to see and hear impossible things. Directed by Henri-Georges Clouzot. Michel Serrault : J’admirais depuis toujours Paul Meurisse, comédien véritable, remarquable dans le drame et excellent dans l’humour à froid des comédies légères. Adaptation du roman de Boileau-Narcejac, Celle qui n'était plus, soufflée au nez et à la barbe d'Hitchcock qui lorgnait dessus, Les Diaboliques figure, avec son retournement final magistral, parmi les films à suspense les plus emblématiques de l'histoire du cinéma. Je découvrais alors, derrière les tapisseries pendantes et les planchers affaissés, la somptuosité éteinte des lieux. The wife and mistress of a loathed school principal plan to murder him with what they believe is the perfect alibi. His favorite technique is to repeat a question, pretending that he hasn't heard the answer, although it's quite clear that what he hopes to do is trap a suspect in a contradiction. Et au même instant, venant de l’intérieur de la malle, nous avons entendu un râle : « Aaaah ! Now she has seen your 'Psycho' and is afraid to take a shower. Je m’empresse d’ajouter que cette attitude ne lui enlevait pas un glaçon de courtoisie. Savoir qu’on en a, c’est déjà en avoir. Quatre secondes de suspense. Et Clouzot laissa tomber la sentence. The most disturbing elements of the movie are implied, not seen, in the seedy air of the teachers, all of whom have seen better days and at least one of whom should probably be in jail. Son tournage est lui aussi resté dans les annales. Propos extraits des biographies de Paul Meurisse, Simone Signoret, Noël Roquevert, Michel Serrault et Michel Romanoff ; l’ouvrage de José-Louis Bocquet et Marc Godin, Clouzot cinéaste ; des articles des Cahiers du cinéma n°44 (février 1955), de Ciné-Miroir n°966 (14 mai 1953) et de Ciné-révélation n°49 (10 mars 1955) ; ainsi que du documentaire d’Eddy Vicken, Clouzot, le tyran éclairé (2004). C’était ça, le ton de nos conversations. Paul Meurisse : Les histoires aberrantes qui ont été racontées sur la scène de la baignoire relèvent de l’infantilisme. Paul Meurisse : Le talent de Clouzot était tel que même les invraisemblances avaient un air de vérité. Michel Serrault : L’ambiance sur le plateau n’était pas à la rigolade. Mais Véra, pour la faire pleurer, je la consolais d’une peine qu’elle n’avait pas eue. Clouzot s’est montré habile, en choisissant le contre-pied total, et en plaçant ses héros au beau milieu d’une collectivité symbolique, dans une espèce de collège. Il m’accompagne jusque chez le couturier et discute du choix de mes robes. Il avait remarqué que je n’en menais pas large. Clouzot a enfin compris qu’il n’était pas nécessaire de perdre un figurant, et qu’un sac de sable pouvait être aussi efficace. Cela voulait dire que je pouvais faire surface. Je gagnai le bar et me retrouvai devant un homme au visage fin et nerveux, aiguisé comme une lame. Quand il m’a dit ça, je l’ai mal pris. Elle était drôle, insupportable, généreuse, folle, malheureuse et capable de rendre les gens malheureux ; elle était malade aussi ; je l’ai adorée et détestée et, curieusement, elle me manque. Quand je fis un bout d’essai, bien qu’un peu crispé, je fus bon pour un nouveau tour. C’est Henri Jeanson qui avait surnommé Meurisse « le nonchalant qui passe Â», et on ne peut trouver meilleure ni plus affectueuse définition. C’est grotesque. Le réalisme maniaque de Clouzot réhausse une absence, comme s’il s’agissait de faire (re)vivre la mort, de voir s’incarner le mauvais démiurge qui a damné tout ce monde là. La dernière fut celle de la chambre de Napoléon, au Relais de l’Empereur, à Montélimar. Partout où j’allais, les gens me désignaient, discrètement, de peur que je les voie, les conversations s’arrêtaient pour devenir des chuchotis, les mères serraient leurs enfants dans leurs bras. Qu’ils fassent donc l’essai, ceux qui ont écrit ces âneries, d’entrer tout habillé dans une baignoire d’eau froide ! Henri-Georges Clouzot : Je crois qu’il est très difficile de tourner un film en Cinémascope ou en Vistavision en noir et blanc parce qu’on le passe sur des écrans métallisés qui supportent mal le noir et blanc. Eh bien ! Eh bien, avec sa femme Véra, qui était comédienne comme moi je suis nègre, il a dû nager dans le bonheur ! With Simone Signoret, Véra Clouzot, Paul Meurisse, Charles Vanel. Je le protégerai sans cesse. Henri-Georges Clouzot : Après avoir acheté les droits, pendant un an et demi je me suis dit : « C'est la plus mauvaise affaire de ma vie. A remake, Diabolique … Henri-Georges Clouzot : J’ai été interne. Sur "… I composed the score and conducted a small chamber ensemble for a live recording for a concert of live music to short films. Of course he isn't exactly swift on his feet. Je me disais : « Il va rigoler. Croient-ils que les assurances l’auraient permis ! C’est fou ce que l’on m’aimait ! Véra arbitrait ou mettait de l’huile sur le feu, ça dépendait de son humeur. Jeremiah Chechik's remake borrows the same basic plot of the original, but transfers it from 1950s France to 1990s America. Nous ne tenions pas à nous connaître, et c’était très bien ainsi. Clouzot venait me chercher parce qu’il avait besoin de moi pour le rôle. » C’était un roman policier : Celle qui n’était plus de Boileau et Narcejac. Lui, c’était moi. Mais, à aucun moment, je n’ai eu à me plaindre, pendant le tournage des Diaboliques de nos rapports metteur en scène â€“ acteur. In appearance, mannerism and strategy, Fichet is Columbo; Falk added a squint, a dirtier raincoat and more humor. Il n’y avait presque aucune indication sur la colonne de gauche du script. Les pieds cloués au sol, ils s’attendaient au pire. Il faisait French Cancan. 29 janvier 1955. En utilisant ce site, vous acceptez que les cookies soient utilisés à des fins d'analyse et de pertinence, Exposition Le mystère Clouzot (8 novembre 2017 - 29 juillet 2018). Quant à l’eau, elle était maintenue à un degré constant de chaleur. Nous étions dorlotés et chouchoutés par Véra Clouzot. Je n’y arrivais pas. "Les Diaboliques" ce fût plus d'un an de travail, 8 comédien(ne)s sur scène, 31 personnages, 1 voix off et 1 comédienne en alternance ! The movie has fun with the usual whodunit details: The split-second timetables, and the sleepy old guard who must open the gates to let anyone in or out of the school grounds. » Et alors il vous guettait et on se sentait un peu idiots. « Je ne sais pas le faire Â», dis-je. Michel Serrault : Au cabaret, à La Tomate, il n’était pas rare de voir parmi les spectateurs des grands comédiens ou des chanteurs. Diaboliques is based on the 1952 novel Celle qui n'était plus (She Who Was No More) by French writers Pierre Boileau and Thomas Narcejac. Il fut satisfait, sembla-t-il, de cette prestation de comique à qui on ne demandait pas de faire rire. If it had accomplished nothing else, "Diabolique" would deserve our affection for two reasons: It contains the original of Peter Falk's TV character Columbo, and it inspired one of the funniest stories in screen history. J’avais signé un contrat de huit semaines avec Clouzot, on entrait dans la quinzième semaine de tournage. En effet, il n’était pas aisé de descendre un escalier étroit, en colimaçon tout en portant une malle pesant plus de 80 kilos. Bande-annonce du film de Henri-Georges Clouzot, Les Diaboliques.La première apparition de Johnny Hallyday au cinéma. Can they trust the evidence of their eyes and ears - or believe their clear memory of Michael's dead body staring goggle-eyed at them from beneath the water in the bathtub? The story takes place at a run-down boys' boarding school. Puis une institution d’enseignement privé. Par Olivier Rajchman Le 09 avril 2018 à 18h53 . Ça nous permettait d’entretenir ces relations ambiguës et agressives qui, dans le fond, nous amusaient beaucoup. Lui, pouvait dormir trois heures et repartir pour une journée. La distance, rien de tel pour l’harmonie des rapports. Paul Meurisse : Le film fut un triomphe. Pour moi tout seul.
les diaboliques final scène 2021